Ce hacking temporaire d’un ancien bâtiment industriel propose d’articuler une série d’espaces d’exposition et de rencontre autour de l’eau. Cette ressource est captée, stockée, distribuée et devient ici un élément d’architecture qui remplace le mur ou la colonne.
Cette installation se trouve dans la prolongation des expériences MATZA menées dans le désert de Californie et sur le glacier alpin. Aux Acacias 76, nous avons mis au point un système autonome de captage et de gestion de l’eau météorique, ressource majeure autour de laquelle les espaces s’articulent.
Après avoir été captée puis stockée, une partie de l’eau est rendue potable par un filtre vertical alors que l’autre est chauffée puis distribuée par gravité dans les bassins.
Afin de rester autonome, le système a été dimensionné en fonction de la moyenne des précipitations à cette période de l’année. Il reste ainsi en permanence alimenté en eau.